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Nico et Nelly en Amérique du Sud
20 mai 2015

Le Machu Picchu et le retour

Vendredi 8 mai 2015, c'est le grand jour...Depuis le temps qu'on nous en parle, on va enfin voir le Machu Picchu en vrai. Il est donc 4h quand le réveil sonne. On a plutôt bien dormi et on est en forme (malgré les petits yeux de la première photo avec nos supers ponchos)...Eh oui, vous l’aurez compris : dehors, il pleut des trombes d'eau...C'est vraiment pas de chance. De toute façon, comme Sophie et Sylvain (des amis qui l’ont fait) on n'a pas le choix, on a acheté nos billets il y a 1 mois environ...Il faut quand même y aller tout en espérant que ça s'arrête puis que ça s'éclaircisse. Le temps de faire une rapide toilette et de prendre en poche de quoi déjeuner...et c'est parti.

 

Il est 4h30 quand nous mettons les pieds dehors avec nos frontales...et là, 1er miracle, il ne pleut plus (mince alors, on n'a mis nos ponchos pour rien...en même temps, ce n'est pas plus mal, n’est-ce pas ?) Comme repéré la veille, il faut descendre en direction d'hydroélectrica, passer devant le camping (bon plan à notre avis...si on avait su, on l’aurait pris notre tente) puis on arrive au bout de 20 min devant un petit cabanon (sorte de « poste frontière »). Une dizaine de personnes est déjà là et attend. On se demande pourquoi. En fait, le chemin n'ouvre qu'à 5h alors les gardes nous font patienter (quel est l'intérêt?). Au fur et à mesure, la queue s'agrandit (au moins 50 personnes, principalement entre 20 et 35 ans). On en profite pour déjeuner rapidement (galettes) et d'enlever nos vestes et panchos car il ne fait pas bien froid (et vu comme ça va monter, on va même avoir plutôt chaud).

 

A 5h, c'est bon, c'est parti...on montre notre billet et notre passeport. Le chemin est fléché...impossible de se perdre...Et puis, il suffit de suivre les gens car la plupart monte à un rythme assez élevé (pour ne pas dire très élevé). On est partis trop vite et Nelly va vite être fatiguée. On se fait doubler pleins de fois mais après tout, on s'en fiche, le but c'est d'arriver en haut avec encore des forces car il y a environ 1700 marches. Le temps est toujours aussi nuageux, on monte même dans le brouillard (c'est pas bon signe tout ça) et on transpire énormément (on regrette de ne pas avoir pris un 2ème tee-shirt...les vestes sont totalement inutiles).

 

A 6h, on arrive enfin...à la porte d'entrée du Machu Picchu...que ce fut dur. Les bus arrivent à peine (on aurait pu prendre aussi cette option mais il fallait payer en plus autour des 35NS l'aller tout en se levant aussi tôt si on voulait arriver vers les premiers). On fait donc la queue (pas plus de 50 personnes devant nous). Quelques minutes plus tard, le Machu Picchu ouvre ses portes. On nous fournit un plan du site et rapidement, on se retrouve presque seul sur le site...Quel bonheur! Dommage que le temps soit si nuageux mais on voit, c'est déjà ça. On se balade dans les ruines, c'est vraiment sympa. On arrive au pied du Wayna Picchu (petite montagne qui surplombe le Machu Picchu). Pour info, on peut y grimper (1h de montée) mais les places sont limitées à 400 par jour...Il n'y avait plus de place, du coup, on a acheté (pour 10 NS de plus) la grimpette de l'autre montagne juste en face (« montagne Machu Picchu »...quel nom original!)...là encore, 400 places par jour (moins prisé car montée plus longue...et peut-être plus difficile ?).

 

Et là, Nico aperçoit au loin un lama...Au début, il croit que c'est une statue car ça ne bouge pas. Mais en fait, oui...il bouge...Mince alors, c'est un lama. Il rêve d'en voir un de près depuis qu'il a mis les pieds au Pérou...Et là, en plus, au Machu Picchu, c'est énorme. Il est tout excité et perdu à la fois...Bon sang, il est où le chemin pour rejoindre le lama...Vite, vite, il faut y aller...Nelly suit derrière (elle a l’impression que Nico a 5 ans). Finalement, on trouvera le chemin et surtout on aperçoit le lama en question. Mieux encore, il y en a plusieurs...Autant vous dire qu'on (surtout Nico, vous l’aurez compris) se fera un grand plaisir de les photographier dans tous les sens...

 

Bon maintenant, ce n'est pas tout...avant qu'il y ait trop de monde, visitons la suite du site. On arrive à un petit cabanon où il y a un garde qui nous demande de nous enregistrer si on veut aller voir le « pont des Incas ». Il nous annonce qu'il faut 20 min pour y aller...le chemin est assez plat mais en revanche, aucun intérêt d'y aller...Il n'y a pas grand chose à voir...Le pont n'a rien d'extraordinaire et en plus, on le voit à travers des barreaux. On regrette vraiment d'avoir perdu plus de 30 minutes...En même temps, on ne pouvait pas savoir.

 

Et là, sur le retour, qui croise-t-on ?...Camille et Lucile (ainsi qu'une pote à elle), nos collègues. En même temps, ce n'est pas une surprise, on n'avait réservé le même jour sans se concerter. Elles nous expliquent qu'elles sont pressées car elles doivent prendre un bus à Hydroélectrica vers 15h...On se dit qu'elles sont folles et que c'est bien dommage d'être pressées par le temps comme ça quand on est au Machu Picchu...En même temps, chacun fait comme il peut (et accessoirement comme il veut). On se dit qu'elles n'auront jamais le temps de monter jusqu'en haut de la montagne (ce qui sera en effet le cas).

 

Pour notre part, c'est le moment où l'on décide de s'attaquer à cette montagne. On a jusqu'à 11h pour franchir la porte d’entrée (on doit de nouveau montrer notre ticket et s'enregistrer)...De nouveaux escaliers nous attendent. Il fait toujours aussi gris et plus on avance, plus on monte dans le brouillard...C'est tout sauf rassurant. Les jambes commencent à être lourdes, on a vraiment du mal à avancer (plus Nico que Nelly, cette fois-ci) mais à notre rythme, on arrivera au sommet en 1h30 (temps annoncé par les gardes en bas). On est vraiment contents d'être arrivés au bout...On l’est un peu moins quand on se rend compte qu’on est entourés de nuages : on n’a aucune vue sur le Machu Picchu (ni sur quoi que ce soit)...fallait s'y attendre vu le temps qu'on a eu lors de la montée. Il y a déjà du monde qui attend que ça se dégage. Nico entend un guide qui dit que ça va se dégager, il suffit de patienter. On décide donc de se reposer et d'attendre tout en espérant que ça se découvre (de toute façon, vue l’épreuve pour monter, on n’allait pas redescendre tout de suite). On espère vraiment qu’on n’a pas fait tous ces efforts pour rien... On se dit même que la montée au Cañi (qui était notre référence en terme de difficulté d’ascension jusque là) est moins dure que cette montée-là. (il faut dire qu’on s’était tapé les marches pour monter au Machu Picchu avant, et à 4h30 du mat’ en plus ! Et que toutes ces marches sont plus ou moins hautes, d’ailleurs plus hautes que basses, histoire de bien casser les jambes).

 

Et voilà que 15 minutes plus tard, on est alerté par les gens...ça commence à se dégager. Vite, on se lève, on prend les appareils photos et on se place au premier rang pour photographier le Machu Picchu. Sur les premières photos, il y a encore des nuages mais on a tellement peur que ça se recouvre qu'on les prend quand même...Puis 10 minutes plus tard, ça commence de nouveau à se recouvrir. On décide donc de redescendre. 5 minutes après (donc plus bas), on aperçoit encore mieux le Machu Picchu (d'où d'autres photos encore plus réussies : cette fois-ci on distingue le Wayna Pichu : c’est super beau !). Nelly pense qu'on est descendus trop tôt mais Nico n'est pas sûr : on aperçoit des nuages en haut du sommet de la montagne...c'est peut être couvert et on voit mieux d'où on est (on ne va quand même pas se retaper ces foutus escaliers, on en a eu notre dose pour la journée).

 

La descente se fait donc sous le soleil avec la vue sur le Machu Picchu...splendide (ceux qui sont descendus avant car c'était couvert ont vraiment fait un mauvais choix car lors de notre ascension, il y en avait qui redescendaient). En 1h (vers 11h30), on est en bas...plus rapide que la montée et moins galère que prévu (marches moins glissantes grâce au soleil). Plus on descend, plus on aperçoit la masse de touristes...C'est sûr, maintenant, on est loin d'être tout seul. On en profitera pour passer dans les endroits que l'on n'a pas encore vu mais la masse de touristes devient étouffante...Impossible de prendre une photo sans des gens et difficile de circuler. On se dit qu'on aurait dû profiter un peu plus longtemps du site ce matin pour ne monter qu’un peu plus tard... En même temps, le Machu Picchu sous le soleil, c'est quand même plus agréable...

 

Vers 12h30-13h, on décide de sortir du site, on a fait le tour et on se sent vraiment oppressés par la foule. Avant de franchir les portes d’entrée, on se fera, bien entendu, tamponner notre passeport avec le tampon du Machu Picchu. Nous pique-niquerons ensuite à l'extérieur (c'est interdit de manger sur le site même si certaines personnes cassent la croûte en haut de la montagne) puis on attaque la descente (même chemin qu'à l'aller : vive les escaliers!). On croisera peu de gens cette fois-ci...45 minutes plus tard, on est en bas. Comme il est assez tôt, on a le temps d'aller au musée du Machu Picchu qui se trouve sur la gauche en venant des escaliers (à 20 min à pied d'Agua Calientes) et qui explique tout ce que l'on vient de voir (vu que l'on n'a pas pris de guide, ça vaut le coup, 22 NS/pers.). Le musée est vraiment bien fait : explication sur la vie autrefois, objets découverts au Machu Picchu, photos lors de la découverte des lieux et des remises en état, vidéos, etc...

 

Par la suite, il est possible aussi de visiter le jardin botanique, juste à côté (compris dans le prix du billet). Nelly le fera car elle aime la faune et la flore, mais ce jardin peut largement être évité car il n’y a pas beaucoup de fleurs (ça doit certainement dépendre de la saison), et les plantes qu’on trouve peuvent être vues partout au Pérou, quand on vient d’Hydroélectrica à pied par exemple…)

 

En revanche, Nico préférera rentrer (la faune et la flore ce n'est pas trop son truc, mis à part les lamas bien sûr) et décidera d'aller à l'office de tourisme pour se renseigner pour le retour. Et oui, rappelez-vous (article précédent), le train étant hors de prix, il faut quand même qu'on rentre. Camille et Lucile avaient un bus vers 15h à Hydroélectrica alors peut être reste-t-il de la place pour le lendemain. Contrairement à Cuzco, l'hôtesse d'accueil est adorable et va parfaitement bien renseigner Nico. Il y a en effet des mini-bus privés qui font Hydroélectrica-Cuzco (6h de trajet) et qui partent à 14h50 (largement le temps de descendre à pied vu qu'il faut 3h). Comme notre téléphone ne capte pas au Pérou, l'hôtesse appellera la compagnie Caracol (qui signifie escargot en français) puis passera l’appel à Nico. Parfait, pour 50NS/pers., il y a de la place...Nico réserve et ressort de l'office de tourisme satisfait. On espèrera, quand même, que le bus avancera plus vite qu’un escargot !

 

Nelly vient à peine d'arriver à l'hôtel... Nos compagnons de voyage sont quant à eux partis (avec notre parapluie). On ne sait donc pas s'ils ont pu accéder au Machu Picchu. Ils n'avaient pas de billet et à Cuzco, une gérante d'un hôtel leur avait donné un tuyau pour ne pas payer l'entrée du Machu Picchu avec un plan pour accéder à cette entrée secrète (cela semble irréaliste mais il parait que cela a fonctionné avec plusieurs personnes dont la dernière il y a un mois et demi : on vous dira cela quand on les aura contactés).

 

On profitera de cette fin de journée pour se reposer et on ira manger dans un des nombreux restaurants (assez vides d'ailleurs et en recherche de clients). On espère que le service soit plus rapide que la veille afin de se coucher rapidement car on est assez fatigués (levés depuis 4h du mat' sans rappeler les nombreuses marches dans les mollets).

 

On passera une bonne nuit. A 8h40, on est prêts à partir. On a 20 minutes d'avance par rapport à notre timing (check out à 9h) même si on n'est pas pressés. En descendant les marches de l’hôtel et celles qui rejoignent la rivière, on se dit qu’on aurait dû s’étirer la veille, car maintenant on marche comme de vieux canards. Les mollets tirent vraiment !!! Notre bus nous attend à 14h50 et on se dit qu'on ne mettra (normalement) pas plus de 3h pour y aller (les photos étant déjà été prises à l'aller et heureusement : le chemin est plat, sans aucune marche !). Il fait super beau (quelle chance pour ceux qui vont au Machu Picchu aujourd'hui, samedi 9 mai). Le trajet du retour (le matin) est dans sa première partie plutôt à l'ombre puis plus au soleil sur la fin. Au bout de 2h20, on aperçoit le restaurant avec les hamacs qu'on avait repérés à l'aller. On demande le prix d'un menu...Pour 10 NS (environ 3 euros), vous avez droit à un menu unique : guacamole et sorte de chips, soupe, viande + riz et un jus de carambole...Et surtout, le droit de se reposer sur les hamacs (ce que l'on fera avant et après le repas, tout en espérant qu’il n’y ait pas un avocat qui nous tombe sur la tête, car nous sommes sous les avocatiers). Nelly en profitera pour photographier et tenter de filmer les papillons d’une douzaine de cm d’envergure. Pas facile à voir car fermés, ils sont de la même couleur que les troncs d’arbre.

 

A ce restaurant (qui se trouve le long des rails et à 20 min du bus), on peut aussi acheter les billets de bus pour Cuzco avec la même compagnie Caracol. C'est 40 NS (mince alors, on a réservé pour 50). On expliquera qu'on a déjà réservé par téléphone mais qu'on aimerait bien payer ici (avec ce prix, bien entendu). Quelques minutes plus tard (oui, ici, on vous prévient quand il faut aller au bus, comme ça vous pouvez vous reposer dans les hamacs...et on est nombreux maintenant), un gars du restaurant vient nous voir...C'est vous Nelly et Nicolas ? Oui...Vous devez me payer à moi les 50 NS (donc 100 pour les 2) vu que c'est le prix que vous aviez convenu au téléphone, impossible de baisser le prix convenu avec le chauffeur.

 

Le gars donne un prospectus à Nico afin que l'on repère le bon bus. Nelly paie et par la suite, après avoir regardé le papier, Nico voit que le prix est en réalité de 16 NS...Incroyable la marge qu'ils se font. Du coup, il demande des explications au gars. Ce dernier lui dit que c'est comme ça, c'est le prix convenu...Mouais, Nico n'est pas bien satisfait. Il demande alors un reçu que ce dernier refuse de lui donner en lui expliquant qu'il va venir au bus et qu'il n'a pas à s'inquiéter...2ème mouais, ça ne sent pas bon tout ça. Bon tant pis, on y va quand même...On a payé alors on rentrera dans le bus de toute façon.

 

Sur le trajet, Nico se dit qu'il aurait quand même dû insister pour avoir son reçu afin de pouvoir aller râler (à la « Jean Claude », son père) auprès de l'agence à Cuzco. Là, sans reçu, aucune preuve, il ne peut rien faire (grrrrrrrrr). Quand on arrive au lieu de rendez-vous, il y a plein de mini-bus (environ 16 places) qui attendent. On cherche donc le nôtre que l'on trouve rapidement. Bien entendu, on n'est pas inscrits sur la liste du chauffeur et on lui explique qu'on a payé au restaurant et qu'il a reçu un coup de téléphone tout à l'heure. Il nous laisse rentrer puis quelques instants plus tard, il nous demande un reçu...Nico lui répond qu'on n'a pas voulu lui en donner un...Le chauffeur n'insistera pas.

 

Quelques minutes plus tard, qui voilà ?...Le gars du restaurant, qui est bien venu, comme il avait dit. Il nous appelle. Nelly sort et il lui expliquera que le gars au téléphone n'avait pas le droit de nous faire payer 50 NS au lieu de 40. Il lui rend donc la monnaie...C'est déjà mieux...Surtout que d'autres présents dans le bus ont payé ce prix-là, c'est plus juste et on trouve ça plus normal. On se demande quand même pourquoi c'est écrit 16 NS sur le prospectus...On se dit que c'est peut-être le prix pour les péruviens ou alors pour ceux qui l'achètent à l'agence sans passer par un intermédiaire...Bizarre cette histoire mais on laisse tomber, on n'est pas à 7 euros près et puis tous les touristes du bus ont payé 40 NS chacun.

 

Le trajet sera plus rapide qu'à l'aller (6h seulement)...Normal, le chauffeur roule comme un fou : que ce soit sur la route de terre ou dans les lacets de la montagne...ça tourne dans tous les sens. A mi-parcours, un petit stop est prévu afin de laver les voitures et de faire fonctionner le commerce. Des péruviennes sont en train de faire cuire des steacks dans une très grande quantité d'huile afin de nous vendre des hamburguers (pas du tout appétissants)...Nous, nous avions prévu notre repas en ayant acheté des avocats, des tomates, du pain et des fruits sur le chemin, à Hydroélectrica. On s'achètera quand même des galettes et de la confiture (2 fois le prix par rapport à Cuzco) pour le petit déjeuner du lendemain (on ne savait pas encore qu'on allait dans une auberge qui propose un petit déjeuner, et en plus aussi bien).

 

Malgré les virages, Nico mangera dans le bus (sur la fin, c'est plus tranquille) tandis que Nelly attendra l'arrivée avec impatience : tous ces virages lui donnent la nausée. Il est un peu moins de 21h quand le bus nous dépose dans le centre de Cuzco (il est arrivé un peu en avance, normal, vu à l'allure où il roulait). On va donc récupérer notre sac dans notre auberge un peu glauque...Le papi nous avait réservé la chambre car il croyait qu'on voulait y rester...On s'excuse et on s'en va en lui disant qu'on a un bus en direction de Puno (ce qui est vrai mais on ne lui dira pas que c'est pour après demain).

 

Nelly avait noté le nom de quelques auberges. On prend donc un peu de la hauteur...Encore des escaliers...Nos mollets nous maudissent : on ne marche plus comme de simples vieux canards mais comme de vieux canards boiteux. On rentrera dans 2 auberges qui nous conviennent moyennement...puis on atterrira dans cette fameuse auberge tenue par des chinoises (autant dire que les clients sont des chinois). C'est 50 NS la chambre (plus cher que d'habitude, mais allons voir, après tout, on n'est pas dans un dortoir). On veut un bon lit après notre périple. Il y a encore des escaliers dans cet hôtel...mais là, whaouh, en haut, sur la terrasse, on a une vue plongeante sur la place centrale de Cuzco et le petit déjeuner est inclus (on ne savait pas encore qu'il était à volonté et grandiose)...La chambre est bien sympa aussi (même s'il fait assez froid, comme partout ici à Cuzco de toute façon), avec salle de bain privée (on a galéré pour la douche mais il y a une technique pour avoir l'eau chaude, explication le lendemain)...Banco, on la prend pour 2 nuits.

 

Prochain épisode : Puno et le lac Titicaca...La suite de notre séjour à Cuzco a déjà été publiée.

 

A bientôt

 

Nelly et Nico

 

 

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Commentaires
J
Chapeau, je savais pas que vous marcheriez jusqu'à l'entrée du site avant d'attaquer la montaña!!! Moi j'avais fait que la descente en courant sous la pluie....un beau moment :-)<br /> <br /> <br /> <br /> Bises
N
Et, non, le lama est resté tranquille. Pour tout te dire, un lama m'avait déjà craché dessus dans le passé (en même temps, je m'étais amusé à danser devant lui alors, je l'avais sans doute bien mérité). Du coup, cette fois-ci, j'ai fait gaffe.<br /> <br /> Et puis, bravo, M. Le champion des commentaires...Si tu continues comme ça, une récompense à notre retour, tu auras...!<br /> <br /> <br /> <br /> Nico
V
magnifique la photo avec le machu picchu en arrière plan!!! le lama, il vous a pas craché dessus?? :-)
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